mercredi 29 octobre 2014

Bora Bora's Bitches T2, Le retour de la mort qui tue de Jacinthe Nitouche

EdiBich, 01 décembre 2014 (format papier & eBook)

Tu pensais être tranquille ? Tu croyais qu'elles coulaient des jours paisibles dans l'anonymat ? Naïf.
Philis défraie toujours autant la chronique avec sa chandelle de feu. Jane sauve encore plus de vies. Petra n'est pas sortie des méandres métaphoresques guếtapiques. Jacinthe est plus fan que jamais de Larusso. Quand Mme Gandus, elle essaie envers et contre tout de les faire virer par le syndic.
Accroche-toi à ton string, elles reviennent et ça va swinger dans les chaumières, surtout au 4A.



Je suis une fan absolue de Bora Bora's Bitches, donc avant de lire ce tome 2, je savais déjà (oui j'en avais la certitude) que ce deuxième volet serait, tout comme le premier, un méga coup de coeur. Oui bah je me trompais ! (au temps pour moi !
Ce tome est une BOMBE ATOMIQUE !
Je vais devoir revoir le système de notation juste pour ce livre car un 6/5 c'est vraiment trop peu !

Le retour de la mort qui tue.... Quel bon choix de titre. (ainsi que la couv qui reflète un moment cultissime du livre)
Oui, car au final Jaja m'a tuée ! RIP moi (oui vous pouvez pleurer sur moi - et sur vous aussi d'ailleurs - car vous serez bientôt dans le même état que moi).

Je ne vais pas revenir sur l'histoire du tome 1, car si tu lis cet avis c'est que tu l'as lu et que tu es, toi aussi, une accro à ces folles Boraboresques (et si tu ne l'as pas lu......bouhhh ! Honte sur toi ! Et file le lire).

Comme pour le précédent volet, ce livre ne convient pas à tous...
Si les mots tels que anus, doigt ou  doigt dans ton anus te choquent (entre autres)...vaut mieux passer ton chemin. 
Si au contraire tu aimes ça (hum humm cochonne) tu seras une nouvelle fois...comblée !
De plus, comme d'hab, au risque de passer pour une grande dégénérée (oui désolée je mets tout au féminin aujourd'hui, mais les hommes sont aussi les bienvenus hein !), il vaut mieux éviter de le lire dans un lieu public, surtout si, comme moi, tu es affublée d'un rire de merde, communicatif (la mode goret n'étant plus trop à la mode justement). De même qu'entourée de sa famille (évitons les "chérie je m'inquiète pour toi - maman pourquoi on dirait une folle ?- t'es sûre que ça va ?" etc... et j'en passe - oui ça sent le vécu et pour cause !).

Ce tome est donc, tout aussi cinglé que le précédent... Il y a des choses immuables et Bora Bora's Bitches en fait partie.
Les fous rires sont donc garantis, 100% tu t'étouffes avec ta propre salive, tu couines comme une truie, et tu te prends un kiff total !!

Mais.... Car oui dans ce tome, il y a un MAIS ! Entre tes deux mégas fous rires, tu vas aussi sortir les mouchoirs !! Car elle nous fait bien chialer la Jaja !! (et à plusieurs reprises la Morue !) Mon cœur a fait des triples lutz, des quadruples boucles piqués...et résultat : il est sur le carrelage, en miettes !! Je suis une loque ! 

Maintenant, j'exige, je veux, j'ai besoin... je prie... je supplie (à plat ventre !!), je suis même prête à lécher de l'orteil (de désespoir !)  pour avoir un tome 3.

En conclusion :
 Quand Bora Bora's Bitches t'ouvre son cœur cela donne :
De l'action, des rebondissements, du suspens, des révélations ah oups je confonds !! Des mojitos, de la bite, des fous rires, des beuveries, encore des fous rires, des questions existentielles, des réponses philosophiques, des conversations riches et instructives (de mon point de vue bien entendu), de la joie, de la bonne humeur, de l'amitié, de l'amour, du 4BBBBBBBBB (oui oui !! même que maintenant je connais son prénom...si ça c'est pas du scoop ! Même qu'il commence par un T... mais bon ça tu le savais déjà mouhahaha), des Morues, des émotions, des larmes, des gaz, des cris, des rires, des souvenirs !!! La VIE.. (en beaucoup plus barrée quand même).

Maintenant je vais monter mon petit sanctuaire spécial "Bora Bora" et allumer des cierges...Prions ensemble pour avoir une suite (dans le doute je prépare aussi une poupée vaudou !! A bon entendeur ;) )

10/5

PS : C'est aussi le seul livre (et je tiens à le souligner) où je lis et savoure  les annotions à chaque fin de chapitre  !! Encore du grand Jaja !!

PPS : JANE je te kiffe, te surkiffe !! Toi, ton Smecta, tes bifles et ta licorne....Tu es mon idole !!!

Voir chronique Bora Bora's Bitches T1
Voir chronique du spin Off, Gode Save the Pine


Parce que deux avis valent mieux qu'un...



Je vais être moins "enthousiaste" que ma Solenn, car après sa superbe chronique il n'y a plus grand chose à rajouter, elle ne me laisse que des miettes. :))

Le premier tome de Bora Bora's Bitches avait été un sacré coup de cœur et celui-ci est à nouveau un méga coup de cœur mais pourquoi ? Pourquoi ce livre est devenu culte? (oui oui, je n'ai pas peur des mots : culte ! )

Quatre copines, co-locataires, vulgaires, qui ne pensent qu'à picoler et b*****... quatre morues assumées.

Pourquoi est-ce que je les aime ? 

Tout simplement parce que je m'y retrouve !! Oui, une petite part en chacune d'entre elles. Ou plus simplement j'aurai aimé vivre comme elles (du moins pendant un temps faut pas abuser quand même, mon foie y resterai ). Ce sont des amies à la vie à la mort, solidaires. Si l'une a un problème les autres accourent et lâchent tout pour la soutenir (oui tout, même un plan b***e )

La journée peut mal se passer, le travail, les amours, mais savoir qu'à la maison il y a trois morues aimées qui seront là pour te cajoler, te câliner ou tout simplement t'engueuler pour tes mauvais choix, ça n'a pas de prix.

C'est ça Bora Bora's Bitches : avant d'être une romance entre Jaja et le connard du 4B, c'est juste une magnifique histoire d'amitié, la vraie !!! 

Après il y a la manière dont l'auteur nous la transmet. Ces mots crus, grossiers, mais qui du coup ne nous choquent pas car on sait qu'ils sont prononcés avec amour. C'est drôle (très drôle), on rit (beaucoup) , on sourit à presque toutes les pages. Et même quand la larme pointe, l'auteur parvient à nous faire sourire béatement. 

Dans ce tome, Jaja est plus fragile, plus émouvante. Sa carapace se craquèle : tomber dans le piège de l'amour dévaste les plus coriaces. Du coup la fin est surprenante, mais pouvait-il y avoir une autre fin dans le monde de Jacinthe Nitouche ? Certes Jane peut être une licorne (adorable Jane) mais la vie n'est-elle pas une pute? 


Donc, pour conclure : oui j'ai encore une fois kiffé ce roman. Jacinthe? Bien joué * clin d’œil*, mais je vais te botter le troufion car j'ai aussi une ÉNORME déception... mais alors vraiment vraiment énorme !!! Pourquoi? Mais pourquoi avoir été aussi cruelle ?? Pourquoi T. Campana ? Je ne m'en remets pas ...




Ce livre est un service-presse de


Un premier extrait qui pose une question existentielle :
 C’est comme cette manie de coller une énorme bite au héros. Pourquoi les auteurs accentuent toujours le fait qu’il en a une gigantesque ? Genre, on a même l’impression qu’elle fait le double de sa taille tellement c’est impressionnant. C’est censé exciter ? Parce que moi, je peux te dire que si son paquet est disproportionné, je m’enfuis en courant. Surtout que son engin ne s’arrête jamais de grossir. Tu pensais qu’il était allé au bout et non, hé hé hé : il repousse de plus belle. Les queues dans les romans, ce sont des sortes de balais télescopiques, elles n’ont pas de fin

Et un deuxième digne de Confession Intime :
— Et sinon, si vous deviez nous raconter votre plus grande honte ou votre plus grand malaise ?
— Tu fais chier, Jane, avec tes questions à la con, enchaîne Phillis.
— Ben moi ce n’est pas comme s’il m’en arrivait au moins deux par jour, hein, dis-je en allant mettre un peu de musique
(...)
— Mais sinon, je dirais mon premier pet de fouffe. Celui qui est sorti de nulle part alors que Barrons me susurrait l’entrecuisse.
— Sorti de nulle part ? Heu, il est surtout sorti de ta chatte, grosse, rectifie la Syphilis.
— Ça, je le sais bien vu qu’il a duré au moins une minute. J’ai eu le temps de comprendre par où il sortait. Putain, la plus longue minute de ma vie. Je revois sa mèche passer de gauche à droite à la force de mon aération vaginale. Le pire c’est que pendant ce moment, t’as genre la musique des Chiffres et des lettres hyper angoissante qui t’arrive en plein revers avec la face de cul de Laurent Romejko.
— Il a réagi comment ? demande Pétra intéressée (...)














Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire